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Date de création : 12.04.2008
Dernière mise à jour :
15.02.2019
3933 articles
Naissance et mort du premier mouvement syndical algérien
L’Algérie était perdue pour la démocratie bien avant l’assassinat de son président Mohamed Boudiaf le 29 juin 1992, avant même l’imposition de l’état de siège le 3 avril 1991 et l’annulation des élections en janvier 1992, et avant les dictatures successives de Ahmed Ben Bella, Houari Boumedienne ou Chadli Benjedid.
La bataille de la démocratie en Algérie a été perdue pendant la lutte pour l’indépendance elle-même, lorsque le mouvement syndical démocratique, issu des travailleurs algériens en Algérie et en France, a été détruit par la répression coloniale française et par le terrorisme du FLN, avec la collusion d’organisations syndicales influentes en France et ailleurs.
Le mouvement syndical démocratique des travailleurs algériens était constitué par l’Union Syndicale des Travailleurs Algériens (USTA), fondée le 14 février 1956. A l’époque, le mouvement nationaliste algérien s’était déjà scindé en deux organisations, le Mouvement national algérien (MNA), dirigé par Messali Hadj, et le Front de libération nationale (FLN). L’USTA a été fondée par des syndicalistes du MNA; dans la semaine suivante, le 2 mars 1956, le FLN a créé sa propre organisation syndicale, l’Union Générale des Travailleurs Algériens (UGTA).
Très tôt, ces deux organisations ont été réprimées en Algérie, et leurs dirigeants mis en prison. En France, l’USTA créa le 26 mars 2956 une Fédération qui atteignait 100'000 membres en septembre 1957 (à partir de 15'000 au début de ses activités en janvier 1957, sur un total estimé de 400'000 travailleurs algériens employés en France à l’époque), et publiait un mensuel, la Voix du Travailleur Algérien (à partir de mars 1957). Lors de ses deux congrès (28 au 30 juin 1957 à Paris et 28 aui30 novembre 1958 à Lille), la Fédération de l’USTA en France a fait la démonstration d’une organisation indépendante, démocratique et dynamique, capable d’organiser un puissant mouvement syndical algérien indépendant, garant d’une Algérie démocratique.
Le FLN a ordonné à ses membres de rester dans la CGT dirigée par les communistes, où ils formaient une association, l’Amicale Générale des Travailleurs Algériens (AGTA), dissoute par le gouvernement français le 2 août 1958.
Dès septembre 1957, des militants et des responsables de la Fédération de l’USTA en France sont arrêtés par centaines, leurs bureaux fouillés, leurs documents saisis. Le même mois, le FLN lance une campagne d’extermination des dirigeants de l’USTA. Parmi les personnes assassinées par les tueurs de FLN se trouvent: Ahmed Semmache, trésorier de la Fédération, le 20 septembre; Hocine Maroc, responsable de l’USTA à l’usine Panhard, le 24 septembre; Ben Lachereb, permanent de l’USTA, le 26 septembre; Abdallah Filali, peintre en bâtiment et secrétaire général adjoint de la Fédération, le 7 octobre; Mansour Bouali, trésorier de la Fédération, successeur de Semmache, le 4 octobre; Ahmed Bekhat, ouvrier métallurgiste et secrétaire général de la Fédération, le 26 octobre. Le 24 septembre, Mellouli Said, responsable, est blessé par balle mais survit à cette attaque.
Le 27 octobre, Mohammed Nadji, secrétaire de l’USTA pour la région parisienne, est arrêté et interné au camp de Mourmelon pendant plus d’un an (il sera tué par des tueurs du FLN le 6 juin 1959). Abderrahman Bensid, qui a pris la place de Bekhat comme secrétaire général de la Fédération, et Abdelkhatir Kader, secrétaire de l’Union départementale de l’Indre-et-Loire de l’USTA, sont arrêtés le 1er novembre, avec deux de leurs collègues français qui le protégeaient en les accompagnant dans la rue. Bensid sortait tout juste de prison où il avait été détenu sans inculpation près d’un an. A la fin de 1957, pratiquement tous les dirigeants de l’USTA en France et en Algérie, de premier et de deuxième rang, étaient soit morts soit en prison.
Les assassinats se poursuivirent pendant les quatre années suivantes (Mohamed Ben Bara, ouvrier métallurgique, responsable de l’USTA à St-Chamond, le 12 février 1958, Amar Badioune, secrétaire de la section de Sedan, le 21 mars 1958, Ahmed Ben Ali, responsable régional pour le Nord et le Pas-de-Calais, le 28 décembre 1958, Mohamed Bekhri, ouvrier métallurgiste et membre du Comité exécutif de l’USTA, le 2 décembre 1959, Chabane Guegrane, secrétaire de la section de Longwy, le 11 mai 1961).
La CGT et le Parti Communiste français, principalement par le biais des municipalités qu’il contrôlait, assuraient non seulement la couverture politique des équipes de tueurs du FLN, mais aussi leur soutien logistique.
L’USTA avait déposé sa demande d’adhésion à la Confédération internationale des syndicats libres (CISL) le jour même de sa fondation.
L’UGTA, après un moment d’hésitation dû à ses liens étroits avec la CGT et le PCF, finit également par déposer sa demande d’adhésion. Le 8 juillet 1956, à une heure du matin, après plusieurs heures de débat, et à la majorité d’une voix, le Comité exécutif de la CISL décidait d’accepter seulement l’UGTA. En cela, le Comité exécutif suivit la recommandation d’un comité ad-hoc dominé par l’UGTT tunisienne et l’UMT marocaine, vifs défenseurs du FLN comme leurs gouvernements. Irving Brown, représentant de la centrale syndicale américaine AFL-CIO, lourdement compromis dans des opérations de la CIA en Europe et en Afrique, joua un rôle décisif dans le soutien de la demande l’UGTA et dans le rejet de celle de l’USTA. L’USTA commenta sa position dans les termes suivants:»Irving Brown et les autres diplomates syndicaux du secrétariat de la CISL, ont eu peur de se mettre à dos les Marocains et les Tunisiens, de crainte qu’ils ne quittent le «monde libre» pour rejoindre le camp neutraliste; pour finir, l’UGTA a su faire un chantage encore plus efficace en menaçant de l’affilier à la Fédération syndicale mondiale (FSM, communiste) ou à la CISA (Confédération internationale des syndicats arabes).»
En fin de compte, l’UGTA quittera quand même la CISL après que l’Algérie sera devenue indépendante et suivra son destin naturel en devenant une organisation de modèle communiste, contrôlée par l’Etat, avec des liens de coopération étroite avec la FSM. Ce n’est que bien plus tard qu’une partie de sa base et de ses cadres, aidés par la crise du régime du FLN, tenteront de reprendre l’initiative et lutteront pour l’indépendance de l’organisation.
La décision du Comité exécutif de la CISL s’est avérée fatale pour les travailleurs algériens en ouvrant la voie à la vague de terreur qui s’abattit sur l’USTA et qui a détruit pendant au moins trois décennies toutes les traces d’un mouvement syndical libre et démocratique en Algérie. Au plus fort de la campagne de terreur, le 8 novembre 1957, le Comité exécutif de la CISL, dans une déclaration d’une extraordinaire faiblesse, lança un appel pour l’arrêt des attaques terroristes, sans nommer les parties responsables. L’USTA constata avec amertume: «Quand le FLN a compris que les mêmes raisons qui avaient fait que Oldenbroek (secrétaire général de la CISL), Irving Brown, etc. avaient accepté la demande d’adhésion de l’UGTA, les empêcheraient également de prendre des sanctions contre l’UGTA quoi qu’il arrive, quand il a donc compris que la grande majorité des travailleurs syndiqués du monde ne connaissait pas la réalité du mouvement syndical algérien et ne se donnerait pas la peine de la connaître, alors il a su qu’il pouvait tout se permettre.»
L’UGTA, à partir de 1956, pouvait compter sur le soutien de l’URSS et des partis communistes du monde, de la CISL et de l’AFL–CIO, des gouvernements d’Egypte, de Tunisie et du Maroc, entre autres. Le seul soutien de l’USTA venait des minorités indépendantes, généralement en opposition avec leurs propres directions, dans certains syndicats français, des libertaires, des socialistes indépendants et des trotskistes du PCI avec Pierre Lambert et Daniel Renard, et parmi les socialistes démocratiques de différents pays. En France, un comité de solidarité soutenant l’USTA comprenait Bernard (syndicat des imprimeurs CGT), Capocci (journaliste FO), Hébert (cheminots FO), Houdeville (employés CFTC), Lemoine (mineurs CGT), Lapeyre (travaux publics FO), Lauré (enseignants FEN).
Malgré les énormes pressions exercées sur elle, l’USTA resta quasiment intacte comme organisation jusqu’en 1961. Elle finit par se désintégrer quand Le MNA fut lui-même détruit par les mains de son président, Messali Hadj. Le fondateur du mouvement d’indépendance algérien, dirigeant charismatique mais de plus en plus autoritaire et paranoïaque, perçut comme une menace la force et surtout l’indépendance du mouvement syndical construit par les militants ouvriers de son propre parti. Incapable d’empêcher son parti de se scinder entre sa composante démocratique, fondée sur les syndicats, et sa clique personnelle. Messali décida d’imposer l’obéissance aveugle en recourant lui-même au terrorisme: le 21 juin 1961, une équipe de tueurs à ses ordres assassina, dans les locaux de l’USTA à Lille, trois hauts responsables de la Fédération de France: Mohamed Boutazir, Ahmed Abdelaziz Baba et Mohamed Ghouti. Un quatrième est blessé, mais survit. Abderrahmane Bensid, secrétaire général de la Fédération, échappe à cette attaque par un hasard, et s’abrite chez des amis en Suisse. Il rentrera dans sa ville natale de Tlemcen en 1962, gravement atteint d’une maladie débilitante, mais lucide et reniant en rien son engagement de militant. Il décédera à Tlemcen le 20 septembre 2978, à l’âge de 46 ans.
Cette action de folie criminelle et auto-destructrice de la part du dirigeant vieillissant du MNA, met un terme à la première tentative de syndicalisme libre parmi les travailleurs algériens, parachevant le travail commencé par la police française et les tueurs du FLN. Dans le même temps, elle met un terme aux perspectives de démocratie en Algérie pour plusieurs décennies. Le mécontentement populaire et la haine envers la tyrannie, l’autoritarisme et la corruption du FLN rechercheront et trouveront un nouvel exutoire: l’intégrisme islamique. Aujourd’hui, cependant, comme à la veille de l’indépendance, la cause de la démocratie en Algérie dépend de l’émergence d’un mouvement syndical authentiquement libre et démocratique. Quand les travailleurs algériens entreront en lutte pour organiser un tel mouvement le souvenir de leurs camarades qui ont vécu et sont morts pour cette cause il y a de cela près de quarante ans leur servira d’exemple. Honneur soit à leur mémoire.
Juin 1996
Albert Camus, dans La Révolution Prolétarienne, écrivait en octobre 1957:
"Puisque je m’adresse à des syndicalistes, j’ai une question à leur
poser et à me poser. Allons-nous laisser assassiner les meilleurs
militants syndicalistes algériens par une organisation qui semble
vouloir conquérir, au moyen de l’assassinat, la direction totalitaire du
mouvement algérien ? Les cadres algériens, dont l’Algérie de demain,
quelle qu’elle soit, ne pourra se passer, sont rarissimes (et nous avons
nos responsabilités dans cet états des choses). Mais parmi eux, au
premier plan, sont les militants syndicalistes. On les tue les uns après
les autres, et à chaque militant qui tombe, l’avenir algérien s’enfonce
un peu plus dans la nuit. Il faut dire au moins et le plus haut possible
pour empêcher que l’anticolonialisme devienne la bonne conscience qui
justifie tout et d’abord les tueurs."
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le syndicat en algerie:une phse decisive
Les pompiers refusent d’éteindre le feu de leur syndicat
Le syndicat de la protection civile a annoncé, hier, son retrait de l’union générale des travailleurs algériens, UGTA. Une telle information ne réjouit aucun syndicaliste ou politicien compétent dans ce pays, car, nous ne sommes pas engagés dans une guerre, nous nous réjouissons quand nous gagnons une bataille et nous devenons tristes quand nous en perdons. Nous ne sommes pas dans une situation de choc des civilisations, nous nous réjouissons de voir les étrangers visiter notre pays et nous combattons les organisations qui tentent d’attirer nos concitoyens vers d’autres religions. Nous ne sommes pas au mercato, pour applaudir ceux qui rejoignent notre équipe et insulter ceux qui la quittent…Or, le retrait du syndicat de la protection civile de l’UGTA, traduit la réalité de la vie syndicale, dans notre pays, le militantisme syndicale exige, avant toute autre chose, la solidarité entre les syndicalistes incorporés dans leurs organisations ; la faillite d’un syndicat signifie la faillite de l’action syndicale dans le pays, et si l’action syndicale devient incapable, la violence et l’incendie des pneus et la destruction des institutions publiques et propriétés privées, s’enracinent dans la société. C’est la situation à laquelle fait face l’Algérie, depuis quelques années.
Malheureusement, nous ne sommes pas en mesure d’en vouloir aux syndicalistes de la protection, après avoir décidé de se retirer de l’UGTA, parce qu’ils sont bien au courant des intérêts de la catégorie des travailleurs, dont ils sont chargés de défendre les intérêts. Ce qui est triste dans tout ça, c’est qu’ils ont été convaincus que l’UGTA ne leur a pas garanti leurs droits, et qu’elle ne sera jamais capable de les défendre, dans l’avenir.
Cette UGTA qui paralysait tout le pays, s’il fallait faire face à n’importe quelle décision, prise contre l’intérêt des travailleurs, et s’il fallait obliger le gouvernement à accepter leurs revendications, cette même union est devenue incapable de défendre les intérêts des travailleurs. Cette phrase a été prononcée par des syndicalistes et non pas par des opposants, ayant l’intention d’accaparer l’union pour la représentation syndicale.
Le syndicat de la protection civile n’a incorporé les structures de la centrale syndicale que dans les toutes dernières années, dans le cadre de la nouvelle stratégie adoptée par sa direction qui a voulu récupérer les branches fermées, après la disparition des entreprises mères, et les syndicalistes qui l’ont quitté pour d’autres syndicats indépendants, ainsi que ceux qui ont été licenciés par des ordres non syndicales, c’est-à-dire, les ordres reçus par l’UGTA. Celles-ci consistent à exclure tous ceux qui présentent une gêne pour sa propre direction ou pour le gouvernement. C’est le cas du douanier Ahmed Badoui et plusieurs autres. Si les syndicalistes de la douane ont bien pensé, avant de rejoindre l’UGTA, ils avaient vraiment raison, car ils voulaient faire entendre leur voix au gouvernement. Mais si ce dernier n’entend que la voix de Sidi Saïd, donc il aurait été préférable de le rejoindre, au lieu de rentrer dans une bataille avec le gouvernement. Après plusieurs années d’expérience, les pompiers et les agents de la protection civile ont découvert que le fait de constituer une gêne ou pas, mène vers le même résultat, c’est que le gouvernement « n’entend personne ».
L'Algérie est violemment dénoncée par la Confédération internationale des syndicats (CSI) dans son rapport 2008 sur les violations syndicales.
On y apprend que :
- Les militants syndicaux sont fréquemment harcelés, poursuivis en justice et licenciés.
- La création de syndicats est rendue très difficile en raison des obstacles légaux et de l’attitude hostile des employeurs.
- Deux entreprises étrangères ont licencié des militants qui cherchaient à organiser les travailleurs.
- Dans le secteur public, les autorités ont poursuivi leur campagne de répression du mouvement syndical autonome.
Droits syndicaux dans la législation
Liberté syndicale – restreinte:Les travailleurs de nationalité algérienne ou acquise depuis au moins dix ans ont le droit de constituer des syndicats. Ils doivent cependant obtenir une autorisation préalable du gouvernement avant que ceux-ci ne soient opérationnels du point de vue juridique. La loi interdit aux syndicats de s’associer à un parti politique et de recevoir des fonds d’origine étrangère. Pour être enregistrés, les syndicats doivent présenter aux autorités une déclaration annonçant leur constitution et obtenir la reconnaissance officielle dans un délai de 30 jours.
Un syndicat doit affilier au moins 20% des travailleurs d’une entreprise pour être reconnu comme représentatif.
Les tribunaux ont le pouvoir de dissoudre un syndicat qui entreprend des activités illégales.
Restrictions au droit de grève: Le droit de grève est un droit constitutionnel. La loi prévoit l’obligation d’un vote à bulletin secret du collectif de travailleurs pour décider le recours à la grève et un délai de préavis de huit jours minimum. Un service minimum pour assurer la préservation de l’outil de production doit être assuré, ainsi que la continuité d’activités indispensables pour la sécurité des personnes et des biens.
Le gouvernement peut interdire une grève s’il estime qu’elle risque de provoquer une grave crise économique, disposition que l’OIT a maintes fois demandé au gouvernement algérien d’abroger. Un niveau minimum de service public doit être maintenu au cours des grèves dans le secteur public. En vertu de l’état d’urgence décrété en 1992, toute action entreprise dans l’intention, soit de faire obstruction aux activités d’une société fournissant des services publics, soit d’empêcher la circulation ou la liberté de mouvement dans un espace public, peut être jugée comme étant un acte subversif ou terroriste, passible d’une peine allant jusqu’à 20 ans de prison.
Négociation collective reconnue: Le droit à la négociation collective est garanti dans la loi pour tous les syndicats officiellement reconnus et il est interdit aux employeurs d’exercer une discrimination contre les membres syndicaux.
Droits Syndicaux dans la Pratique et Violations en 2007
Contexte: En décembre, des attentats revendiqués par un groupe islamiste proche d’Al-Qaïda et visant le Conseil institutionnel et des bâtiments d’agences des Nations unies ont fait 41 morts. Au total, 596 personnes sont décédées durant l’année suite aux attentats et aux violences politiques. Il faut aussi mentionner le triste sort de dizaines de « harragas » -des jeunes Algériens cherchant à fuir le pays à bord d’embarcations de fortune- et disparus en mer.
Répression de syndicats autonomes:Ces dernières années, de nombreux syndicats autonomes ont dû faire face aux attaques des autorités. Malgré leur représentativité en particulier dans les secteurs de l’éducation et de la santé, et les acquis qu’ils sont parvenus à arracher, les autorités ont continué à leur dénier toute légitimité. A plusieurs reprises, l’Internationale de l’éducation (EI) et l’Internationale des services publics (ISP) ont fait état d’ingérence dans le fonctionnement de leurs organisations affiliées et de harcèlement à l’encontre de militants de ces syndicats.
Obstruction à la syndicalisation dans le secteur public: Le Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (SNAPAP) a régulièrement fait l’objet de harcèlement et de persécution. Le gouvernement a refusé d’enregistrer le SNAPAP au statut de confédération nationale et a exigé que l’organisation lui fournisse préalablement une liste complète de ses effectifs, ainsi que les cartes syndicales des adhérents. L’OIT a, à plusieurs reprises, rappelé au gouvernement qu’une telle requête contrevenait aux principes de la liberté d’association, vu qu’elle exposerait les membres au risque de discrimination antisyndicale. Le SNAPAP n’a pas non plus pu créer de sections syndicales, notamment dans les hôpitaux. L’obstruction à la syndicalisation se fait aussi sous forme de sanctions, de menaces et de renvois, dans les administrations locales, le secteur de l’eau, les travaux publics, les douanes et la défense civile. La tenue d’assemblées générales des syndicats affiliés est souvent empêchée. Plusieurs autres syndicats autonomes ont été dans la ligne de mire des autorités qui multiplient les tentatives de les affaiblir en incitant et en soutenant des travailleurs à créer des organisations dissidentes. Cela a été le cas du Conseil national algérien des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (CNAPEST), du Conseil national de l’enseignement supérieur (CNES). Les autorités font parfois obstruction à l’enregistrement de nouveaux syndicats en refusant simplement d’accuser réception de leur demande d’enregistrement. Les syndicats indépendants, plus petits, ont des problèmes du fait qu’ils ne représentent généralement pas plus de 20% des travailleurs d’une entreprise et du fait que la systématisation des contrats temporaires dans le secteur public complique aussi l’adhésion à l’organisation syndicale.
Un responsable du SNAPAP suspendu et harcelé: Le 6 juin, Sadou Sadek, secrétaire national chargé des relations et des libertés syndicales du Syndicat national autonome des personnels de l’administration algérienne (SNAPAP) a été suspendu de son poste à l’Inspection générale, officiellement pour faute professionnelle, en réalité à cause de ses activités syndicales. Pendant plusieurs semaines, on lui a refusé l’accès au bureau syndical de son administration à Bejala. Il a aussi été poursuivi en justice en raison de la grève que son syndicat avait initiée. Une action de solidarité à son égard a été interdite par les autorités, mais s’est néanmoins tenue. Fin de l’année, Sadou Sadek était toujours suspendu.
Lourdes peines requises contre deux syndicalistes enseignants: Début janvier, Aïssat Kamel et Larabi Mohand, deux syndicalistes enseignants du Conseil national de l’enseignement supérieur (CNES) ont comparu devant le tribunal de Béjala. Ils étaient poursuivis pour « entrave à la liberté de travail » lors de la grève du 13 mai 2006 initiée par le CNES. Une peine de deux ans de prison et une lourde amende ont été requises contre eux. Quelques jours plus tard, la justice les a finalement acquittés.
Harcèlement d’un syndicat autonome dans l’éducation: De retour d’une conférence régionale de l’Internationale de l’éducation au Caire, où il avait présenté une résolution condamnant les violations des droits syndicaux dans son pays, Abderrazek Salmi, un dirigeant du Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation (SATEF), a été suspendu de son poste d’enseignant. Il a ensuite été réintégré gràce à l’intervention et la médiation du secrétaire général de l’Union nationale des personnels de l’éducation et de la formation (UNPEF).
Refus d’une filiale de Compass de reconnaître un syndicat, licenciement et harcèlement de son secrétaire général: En juillet, Yassine Zaid, secrétaire général de la section locale de l’UGTA d’Eurest Support Services (ESS), une filiale du groupe Compass, a été licencié, officiellement, pour avoir insulté un cadre de cette entreprise qui sous-traite la restauration et l’hébergement des ouvriers des champs pétrolifères de Hassi Messaoud. ESS ayant porté plainte, Yassine Zaid a été condamné le 2 décembre à une amende de 10 000 dinars (100 €) sur base de faux témoignages, selon le syndicaliste. En décembre, il a fait l’objet d’une autre plainte d’ESS pour « diffamation sur internet ». Il a créé un blog où sont décrites les mauvaises conditions d’hébergement, de nourriture et d’hygiène des travailleurs d’ESS. Les malheurs de Yassine Zaid ont commencé fin 2006 lorsque, avec plusieurs camarades, il a décidé de créer un syndicat. Depuis lors, la direction a refusé tout contact avec les représentants des travailleurs. Elle a insulté deux inspecteurs du travail qui avaient été saisis par l’UGTA afin qu’elle reconnaisse le syndicat. Le 30 novembre, Bill Joel, le directeur général d’ESS, a déchiré devant un groupe de salariés, le procès-verbal d’installation du syndicat.
Licenciement d’un syndicaliste dans une entreprise publique:Début juillet à Annaba, la direction d’Alfapipe, un fabricant de tubes, a licencié un responsable syndical qui avait critiqué la gestion de cette entreprise publique et la perte d’un important contrat de maintenance. Pour marquer leur désaccord, la plupart des 570 ouvriers de cette unité de production se sont mis en grève. Le conflit a perduré plusieurs semaines. Deux autres responsables syndicaux ont été arrêtés.
Licenciement antisyndical dans une compagnie américaine: Fin novembre, la compagnie Baker Atlas de Hassi Messaoud a licencié deux représentants des travailleurs qui cherchaient à créer un syndicat dans cette filiale du groupe américain Baker Hughes, troisième société de services pétroliers au monde.
Faible implantation syndicale dans le secteur privé et dans l'économie informelle: Ces deux secteurs connaissent un essor considérable et sont synonymes de dégradation des conditions de travail, d’inapplication de la réglementation du travail, d’absence de protection sociale et d’absence de libertés syndicales. Dans la pratique, de nombreuses entreprises privées se considèrent comme exonérées de l’observation des règles de droit du travail, en ne considérant que le profit immédiat qu’elles peuvent tirer. Souvent les employeurs ne déclarent pas la plupart de leurs employés, les privant ainsi de tous les droits conquis. Ils n’ont ni salaire minimum ni sécurité sociale ni retraite. Dans le secteur textile où les femmes sont très nombreuses, cette précarité rend toute tentative de syndicalisation très difficile car ces travailleuses craignent de perdre leur emploi si elles adhèrent à un syndicat.
La Journée mondiale contre le travail des enfants sera célébrée le 12 juin. Cette année, la Journée mondiale marquera le dixième anniversaire de l'adoption de l'importante convention n° 182 de l'OIT, qui traite des actions nécessaires pour lutter contre les pires formes de travail des enfants.
Tout en célébrant les progrès réalisés au cours des dix dernières années, cette Journée va mettre l'accent sur les défis toujours actuels, en insistant particulièrement sur l'exploitation des filles. Plus de 200 millions d’enfants travaillent dans le monde L’analphabétisme, la pauvreté, la déperdition scolaire, la différence de salaire entre adultes et enfants, le décès ou l’absence permanente du père... sont, entre autres les causes qui poussent les enfants à se lancer dans le travail. Malgré les efforts réalisés, aujourd’hui, plus de 200 millions d’enfants travaillent dans le monde, exerçant des activités qui nuisent à leur développement mental, physique et émotionnel. Les enfants sont contraints de travailler parce que leur survie et celle de leur famille en dépendent. Le travail des enfants perdure, même là où il a été déclaré illégal, et il est souvent entouré d’un mur de silence, d’apathie et d’indifférence. Mais le mur commence à s’effriter. Alors que l’éradication du travail des enfants est un objectif à long terme dans de nombreux pays, certaines formes du travail des enfants doivent être combattues d’urgence. Près des trois quarts des enfants qui travaillent sont aux prises aux pires formes du travail, notamment la traite, les conflits armés, l’esclavage, l’exploitation sexuelle et les travaux dangereux. L’abolition effective du travail est l’un des plus urgents défis de notre époque. Arrachés, tôt à l'enfance, pour des raisons économiques ou politiques, ils font les frais de la misère, d'une crise, d'une guerre... parce qu'ils constituent une main-d'œuvre docile. L'enfant est de plus en plus exploité dans des champs, à la mine, rien ne lui est épargné. Recherché pour sa souplesse et son petit gabarit, ou simplement pour son joli minois, il piochera dans les mines de charbon en Colombie, s'intoxiquera les poumons dans les tanneries du Pakistan. Depuis 30 ans, le phénomène a considérablement évolué, et le travail de l'enfant s'apparente, de moins en moins, à un apprentissage. La crise économique, l'endettement des pays pauvres, les programmes d'ajustement structurel et d'austérité économique, imposés par le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale, ont conduit à des coupes claires dans les budgets sociaux et d'éducation. Ainsi, on peut dire que les principaux facteurs du travail des enfants ne sont que pauvreté, analphabétisme, différence de salaire négligeable entre adultes et enfants, décès ou absence permanente du père, niveau de sous-développement rural, conditions de vie dans les quartiers pauvres de la ville, impossibilité du système scolaire de garantir un emploi futur, exigences physiques spécifiques pour effectuer certaines tâches (mines, tissage des tapis, etc.), enfants abandonnés ou errants, école buissonnière, familles nombreuses. Par ailleurs, l'Unicef et d'autres organisations font la distinction entre le travail acceptable, qui apporte formation et statut à l'enfant, et le travail intolérable, qui entrave son développement intellectuel, physique et psychologique. D'un bout à l'autre de la terre, on retrouve des enfants dans les champs, dans les mines, les ateliers ou dans les cuisines. L'agriculture est encore la plus grande utilisatrice d'enfants. Ce travail est souvent organisé de telle manière que les enfants doivent travailler, aussi longtemps et durement que leur parent. La mortalité, la malnutrition et l'analphabétisme sont, presque partout, plus élevés dans les campagnes que dans les villes. Dans les grandes entreprises, la réglementation sur l'âge et la durée du travail est, en général, respectée. Ce n'est pas le cas des petites entreprises ou des petits ateliers, non déclarés, qui utilisent abusivement cette main-d'œuvre très économique. On trouve des enfants qui fondent des tôles d'acier, tissent des tapis ou fabriquent des allumettes. Les locaux sont souvent sans air et sans lumière : on les appelle les "ateliers à sueur". Les enfants qui travaillent comme domestiques sont en général loués ou même vendus à des familles plus riches. Dans l'immense majorité, il s'agit de fillette, souvent de moins de 13 ans, qui habitent chez l'employeur. Bien des enquêteurs pensent que les cas de mauvais traitements sont fréquents. Ce sont peut-être de tous les enfants au travail, ceux qui sont le plus exploités et qui peuvent le moins se défendre car ils vivent totalement isolés. Et puis il y a tous les enfants des rues : certains jeunes chassés de chez eux par la misère, ou orphelins, vivent entièrement dans la rue. Ils survivent en vendant des cigarettes ou des chewing-gums, cirent des chaussures, lavent des voitures, chantent sur les trottoirs ou bien mendient. Beaucoup d'entre eux basculent dans la délinquance et la prostitution. Le travail des enfants est une problématique qui prend de l’ampleur en Algérie tout comme dans les autres pays du monde. En l’absence de statistiques fiables sur le nombre d’enfants "astreints" au travail sous toutes ses formes, les estimations vont bon train. Selon M. Mekki, représentant de la Forem, 300 000 enfants algériens travaillent au noir dans des exploitations agricoles et des commerces. Si l’on incluait ceux qui font les ménages et les vendeurs à la sauvette, le chiffre frôlerait 1,5 million d’enfants employés clandestinement. Il a aussi soutenu lors de la table ronde consacrée aux différents problèmes dont souffre l’enfant : "Si on pouvait faire une enquête auprès des ménages pour connaître la proportion des enfants domestiques, le chiffre serait multiplié par trois. Si on incluait les vendeurs à la sauvette, soit de pain, de fleurs, de thé, des cigarettes, surtout, pendant la période d’été, ces différentes ventes à la sauvette sont faites par des enfants qui vivent dans la rue car nos statistique indiquent que vingt mille enfants vivent dans la rue". En outre, on atteindrait facilement 1,5 million d’enfants travailleurs, a-t-il complété. Des conséquencesnuisibles sur la santédes enfants Tous les jours sous une pluie battante ou un soleil de plomb, des innocents, à peine plus haut que trois pommes, se tiennent aux abords des autoroutes pour vendre des galettes de pain, soigneusement préparées par leur maman. Ils scrutent les voitures qui passent en trombe, les yeux inexpressifs, les visages graves d’enfants embourbés trop tôt, dans les difficultés et les vicissitudes de l’existence. Dans la plupart des activités effectuées par les enfants, les risques d'une détérioration rapide de leur santé sont importantes. L'utilisation de produits chimiques, dans le cas des industries de la chaussure, de l'orfèvrerie et du textile mais aussi dans l'agriculture, intoxiquent l'organisme fragile des enfants. Dans l'industrie du tapis ou du tissage, les enfants sont entassés dans des lieux sombres et pollués de poussières de laine. Ils abîment leurs yeux et leurs poumons. Les enfants chiffonniers sont souvent atteints de maladie de la peau. Ils risquent de se couper et de contracter le tétanos. Aussi ces enfants qui travaillent dans la construction ont des troubles de croissance et des déformations, en raison du port de charges trop lourdes. Ceux qui travaillent dans les carrières et les mines sont exposés à la silicose. Il ne faut pas oublier que les enfants qui se prostituent sont de plus en plus fréquemment atteints par le SIDA. Pour la plupart d'entre eux, ils sont condamnés à l'analphabétisme à vie car ils ne vont pas à l'école. Isolés, souvent privés de leur famille, ils souffrent de carences affectives dont ils risquent de garder des séquelles à vie. Les enfants travailleurs sont victimes de violations graves de leurs droits les plus élémentaires. Pour éliminer le travail des enfants, le prévenir même et leur rendre toute leur dignité, l’éducation pour le développement, se révèle un outil de taille en ce sens qu’elle amène l’enfant travailleur à prendre conscience de sa situation et à identifier des solutions pour le changement. Il faudrait alors que les choses bougent à l’école tant au niveau des contenus qu’au niveau des stratégies d’apprentissage et de gestion de la structure éducative, en d’autres termes que l’école devienne un instrument de paix. Remplacer les enfants qui travaillent par des adultes, encourager le commerce équitable, appliquer les lois sur le travail, encourager la scolarisation sont peut être la meilleure solution, afin de diminuer ce fléau.La bureaucratie et lafonctionnaucratie Algérienoù la dictature la plus con du système et la plus impitoyable du monde de travail .
Je pense que nous vivons dans une dictature fonctionnaucratique.
Et je n'ai pas dit "des fonctionnaires".... car les fonctionnaires subissent comme les autres et peut-être même plus que les autres les méfaits de cette dictature débile et con, ce régime où on ne voit pas de méchants, pas de tête et pas de responsable. Vous croyez que j'exagère... alorsdemandez à un fonctionnaire s'il est heureux de ses conditions de travail et des directives "qui descendent d'en haut" ?
La bureaucratie etlafonctionnaucratie Algérienest considérablement plus performante et efficace que l'était la bureaucratie de l'Ex-URSS dans l'art de manipuler, de diriger et d'exploiter "la masse devenue docile et servile". C'est pourquoi, l'ALGERIE est exportatrice de fonctionnaucratie et un exemple pour tous les petits despotes de la planète qui sont en quête de reconnaissance et d'honorabilité.
Qui dirige et qui commande ? Personnellement je n'en ai pas la moindre idée, en revanche il est bien évident qu'à la manière des sectes du ancien partie unique FLN, on formate dans nos grandes écoles des individus à devenir les grands gourous et les garants de la pensée unique.
Mes propos vous choquent ? vous les approuvez ? vous les trouvez cons, puériles, déraisonnables, utopiques ou dangereux ?
Quand je dénonce La bureaucratielafonctionnaucratieet met en cause les "fonctionnaires" ... je tiens à dire et à signaler que je n'attaque en aucun cas les "hommes fonctionnaires" ou bien les hommes malhereux mais (je parle du mafia comme directeurs généraux et les chefs dairas ainsi les walis ... ) car pour la très, très grande majorité ... ils travaillent dans une mauvaise ambiance et mauvaise condition travail accumulant mal-être et résignation dans leur travail... et ne demandent souvent qu'une seule chose ... partir le plus vite possible à la retraite pour les plus âgés ou se trouver des activités extérieures anesthésiantes pour les plus jeunes... il faut bien comprendre qu'ils n'ont pas le choix, étant plus que tous les autres, laminés par le système et surtout ils ne sont jamais consultés sur le fond ( même leur vrais syndicat SNAPAP ,elle est toujours marginaliser de toutes dialogue et concentration et n'ont rien à dire . Le système découlant dela fonctionnaucratiese survit à lui seul sous l'oeil bienveillant des grands gourous de l'Etat d'Alger (système mafieux) et la vigilance des chiens médiatiques.( tel que les organisation et le syndicat du système ).Nous sommes dans un monde débile ou tous sont malheureux et attendent avec impatience le moment ou ils auront enfin "mérités" d'être inactifs. ... Inactif ... devenant synonyme de liberté et de choix de son activité. C'est la triste réalité et c'est affreux ...! C'est con !
Quand dans la nature ... une plante, un animal ou une bactérie parasite un individu pour le bouffer ... cette plante, cet animal ou cette bactérie continuera de se développer et de se multiplier ... quand bien même l'individu attaqué crèvera complètement exsangue ... ( les abrutis savants me rétorqueront qu'ils existent aussi des phénomènes de symbiose, c'est vrai mais dans ces cas, ce sont deux espèces qui s'allient pour bouffer ensemble et ce n'est pratiquement jamais une qui bouffe l'autre) .... au même titre les responsables parasitent la société ... et pour se faire ils trouvent mille moyens pour se multiplier et peser encore plus lourds sur les actions des décideurs ... qui pour la plupart sont aussi des fonctionnaires ... Ils se renforcent dans leur position de classe dominante et continueront à se renforcer ... indéfiniment, jusqu'au moment où ils feront tout crever ... à l'image de l'espèce "homme" qui continuera d'être de plus en plus l'espèce dominante sur notre terre jusqu'au moment où elle fera aussi crever la terre. Triste monde !
La fonctionnaucratieinvente des commissions, des administrations, des missions ... cherchant du travail inutile pour submerger encore plus les fonctionnaires et surtout éviter qu'ils réfléchissent trop (idéal pour asservir les troupes) ... favorisant une réunionite maladive ... proposant des jeux de discutions et de rôle ... compliquant tout ... favorisant des professions dépendantes (également parasites) comme les banques, les assurances, les contrôleurs, les comptables, la prévention etc... ... céant une multitude d'associations subventionnées, fidèles et esclaves ... pénétrant les syndicats , les partis politiques(FLN ,RND, MSP, PT, RCDet les groupes révolutionnaires (ONEM ,ONEC UNJA ,UNFA, UMA )... irrémédiablement comme des métastases .... Et surtout, elle fait faire des prévisions, des plans et elle a inventé la prévention ... ce mot magique ... principal vecteur de l'irresponsabilité ... mais grandissime source de fonctions et d'emploisfonctionnaucratiques....
Alors que faire contre cette fatalité .... ? ?
Faire une révolution comme somalie et Iraq ? ... C'est des conneries car ce sera encore pire après .... Pour s'en convaincre ...regardez les partis révolutionnaires ... ils veulent tous plus d'état et plus de fonctionnaires qui puissent faire des prévisions, des plans et beaucoup de prévention ... ils veulent tous plus d'interdits et d'obligations ... donc moins de responsabilité .... écoutez-les ... et rappelez-vous .. regardez-les... les révolutionnaires caviar...
Dénoncer encore et toujours ce système .. ? ... c'est encore moins efficace et plus con ... car c'est directement utile àla fonctionnaucratiequi par ces dénonciations fait croire à tous les malheureux et victimes de l'arbitraire que "zorro Algerien est arrivé" et alors appelle à encore beaucoup plus de prévention, donc plus d'emploisfonctionnaucratiques ... Mais il faut reconnaître aussi que cela rapporte beaucoup (individuellement et financièrement) à tous ces professionnels de la dénonciation .. les grands médias ... les chiens du système ...
Pénétrer lafonctionnaucratiepour la changer de l'intérieur ...? c'est totalement utopiste car nul homme ne peut garder sa raison et son indépendance en étant partie prenante et en se rendant compte de l'idiotie du système .... il lui faut alors partir très vite ou s'inventer rapidement des dérivatifs extérieurs anesthésiants pour simplement espérer respirer un peu ... sa survie même est alors directement liée à sa capacité de fuir ou de ne "rien voir"
Alors, c'est foutu ? râpé ? on n'a plus qu'à subir et attendre de crever ... ?
Personnellement, sans être exagérément optimiste, je ne crois pas que c'est foutu ... car l'antidote de ce terrible cancer social ... se trouve justement à l'intérieur même de lafonctionnaucratie..... oui ... ! les fonctionnaires travaillent malheureux et démotivés ..... ... et par leur quête constante et obligatoire de l'irresponsabilité ... ils fabriquent eux-mêmes l'antidote...
En revanche ... ! Notre société est très gravement malade et il est obligatoire de prendre rapidement des mesures d'urgence et draconiennes (pas des raccommodages) .... c'est pourquoi ... je propose de fabriquer une machine électorale composée de femmes et d'hommes en accord avec les points urgents suivants .. Car, bien au delà du changement réalisé ...., c'est l'existence même d'une telle machine électorale qui provoquera l'effondrement de lafonctionnaucratie... et c'est de l'intérieur qu'elle pourrira ... et alors réveillera la grande majorité silencieuse mais incroyablement critique ... ils s'appellent abstentionnistes, déçus multiples et non inscrits.... ils seront très majoritaires dans notre pays ....
1/ inscrire comme condition fondamentale dans la constitution un texte rendant impossible, caduque et sévèrement répréhensible toutes les lois, tous les arrêtés, tous les décrets ou toutes les décisions arbitraires rendant ou considérant en quoi que ce soit les individus irresponsables.
2/ inscrire comme condition fondamentale dans la constitution un texte constatant que tout homme est porteur d'un seuil au-delà duquel il devient un salaud ou un despote en devenant puissant, riche, célèbre ou simplement investi d'un rôle ou d'une mission ... et conséquemment de faire en sorte que les hommes puissants, au pouvoir ou investi d'un rôle ou d'une mission ne puissent en aucun cas changer ou faire changer les règles fondamentales de la société.
3/ inscrire en préambule dans la constitution un texte proposant le principe .... "un individu, égal ... une voix électorale" ... et donc le droit de vote à 14 ans et par les parents (ou tuteur) jusqu'à 14 ans ... donc de positionner enfin la société dans le cycle de "l'évolution" bien préférable au cycle actuel ... "gérontocratique et défense des privilèges" .... Aussi admettre et dire ... que les jeunes et les parents sont aussi concernés que les vieux, voire bien plus, par le devenir de la société ... et ils ne sont pas plus dépendants et manipulables .... certainement beaucoup, beaucoup, beaucoup moins !!!
4/ diminution rapide et au moins de moitié du nombre de fonctionnaires en simplifiant le système ... et en s'engageant à payer normalement les fonctionnaires libérés jusqu'à la fin de leur vie (maximum 15000da mensuel et même pour les plus jeunes) .... Cela fera malgré tout une économie gigantesque qui pourra être utilisée à la modernisation de l'administration et à l'augmentation du service publique. Puis appliquer à terme et inscrire en préambule dans la constitution un texte reconnaissant le principe ..... "beaucoup plus de service publique et aucun fonctionnaire" ... (pas applicable aux fonctionnaires actuels qui continueront de percevoir leur salaire jusqu'à la fin de leur vie)
5/ inscrire en préambule dans la constitution un texte légalisant le principe que nul n'est obligé de travailler pour survivre et que tous les individus naissent dans une société qui leur doit égalitairement ... le minimum vital ... c'est à dire être nourri, logé, chauffé, soigné, instruit sans qu'ils aient en quoi que ce soit à travailler, à se justifier ou à être redevable d'une contre partie quelconque... en revanche la société ne doit nullement le luxe, la télévision, la voiture, le lave-linge etc.. etc .. ou tout autre objet ou matériel rendant la vie plus simple ou plus attrayante .... c'est du superflu et c'est à chacun de le gagner par son travail !
6/ inscrire en préambule dans la constitution un texte reconnaissant le principe, qu'il n'y a pas de petites ou grandes atteintes à la dignité humaine... il y a atteinte à la dignité humaine ... point.... et c'est cette atteinte qui est répréhensible.
7/ inscrire en préambule dans la constitution un texte reconnaissant le principe ... de la traçabilité totale de l'argent (monnaie d'échange) et alors le prélèvement automatique des impôts à la source et à tous les mouvements d'argent quels qu'ils soient... (ça emmerdera pas mal la mafia et les salauds)
8/ inscrire en préambule dans la constitution un texte reconnaissant le principe .... du droit à être différent et respecté en temps que tel ... et donc de considérer le sexisme, le racisme, la xénophobie, l'esclavagisme (obligation de travailler), l'arbitraire et l'irrespect comme étant les principaux fléaux à combattre
9/ . inscrire en préambule dans la constitution un texte reconnaissant le principe ... que les élus sont les seuls représentants de l'état et ont la "totalité du pouvoir exécutif" et que le peuple (composé d'individus responsables et dignes et non de groupes représentatifs) possède directement "le pouvoir législatif direct et le contrôle, le respect des règles fondamentales de la société"
10/ S'engager à créer un groupe d'individus épris de justice sociale, bénévoles, non ou plus salariés de la fonction publique ou para publique et disposés à ne jamais plus solliciter de postes électifs ou administratifs .... qui étudiera et formalisera une constitution basée sur les droits fondamentaux de l'homme individu et donc les neuf points fondamentaux sus indiqués ....
Je vais développer tout cela dans les jours qui viennent ... mais vous pouvez déjà m'aider, vous aider ... en effet si vous êtes d'accord avec les points sus indiqués ... écrivez-moi et commencez tout de suite .... il y a urgence ....
Des spécialistes de lafonctionnaucratie(médias, professeurs, énarques, hauts fonctionnaires, grandes familles, etc..) vous diront que tout cela n'est que de l'utopie et impossible à réaliser dans ce monde mondialisé .... laissez les dire et ne répondez pas ... car nous parlons un autre langage et surtout nous défendons des intérêts et des valeurs différentes. ... Ils rigoleront "jaune" ! ! .. Maintenant, c'est lancé et la fin de ce système débile est maintenant programmée ... ! !par kaddour HOUARI
Nos fonctionnaires Algérien ont l'air vraiment malheureux par rapport aux salariés du Maroc et Tunisie?
Pour la plupart des salariés d'Algerie souvent condamnés à gagner peu, les fonctionnaires ont vraiment l'air plus malheureux que ceux du Maroc et Tunisie.Les retraites sont calculées sur les 25 dernières années, les fonctionnaires sur les 6 derniers mois et on parle d'égalité en Algérie. J'ai du mal à y croire.
par HOUARI Kaddour
«Qu’est-ce que le pouvoir veut faire avec SNAPAP ?»
a grève générale a été un succès et les travailleurs iront jusqu’au bout parce que la situation est grave et que le pouvoir et sourd " : lors d’un point de presse animé hier, les membres de la coordination, des représentants des différents syndicats et en particuliers SNAPAP en grève n’ont pas mâché leurs mots.
« Nous essayons de contenir et de canaliser la colère des fonctionnaires qui veulent aller vers une action radicale, en l’occurrence une marche grandiose. Si le gouvernement n’assume pas ses responsabilités et s’il continue à nous ignorer et nous dénier le droit d’exister, nous allons investir la rue », menacent les syndicats en tonnant que leur combat est permanent et qu’il continuera tant que les libertés syndicales ne sont pas assises et tant que les syndicats autonomes ne sont pas considérés comme des partenaires sociaux à part entière.
«Regardez ce qui se passe autour de nous. Les harraga sont jetés en prison au lieu de les écouter, la violence est répandue sur toute la société, les syndicats réprimés, les libertés d’expression étouffées. Huit millions d’Algériens sont analphabètes. Alors qu’est-ce que le pouvoir politique veut-il faire de ce pays et surtout du syndicat SNAPAP ?»,s’insurge le leader syndical au soir d’une grève générale réussie. «N’est-ce pas l’échec dévoilé du système en place ?», s’interroge-t- il, en réaffirmant l’engagement des syndicats autonomes à faire valoir leurs revendications, quitte à sortir dans la rue. Une hypothèse qui, d’ailleurs, n’est pas écartée des discussions dans le cadre du durcissement du mouvement de protestation.
Les membres de l 'INTERSYNDICATS exprimé leur ras-le-bol face au mutisme méprisant de la chefferie du gouvernement. Ils déplorent le fait qu’aucun dialogue n’a été amorcé pour apaiser les tensions. «Au contraire, aujourd’hui le médecin et l’enseignant sont devenus de vulgaires voyous avec lesquels le seul dialogue possible est celui de la justice», regrette Monsieur HOUARI Kaddour ,. Il a été constaté en effet, que les différents ministères n’ont pas recouru aux procédures légales de médiation et de dialogue, avant de s’adresser à la justice. L’existence même des syndicats autonomes est rejetée, voire ignorée, sauf pour mettre en exécution le rouleau compresseur, par des menaces de représailles administratives, comme c’est le cas pour la majorité des syndicats, ou juridiques, à l’exemple de l’huissier de justice dépêché hier chez le syndicat des psychologues, pour lui signifier l’illégalité de sa grève.
Le conférencier indique que la situation de pourrissement n’est malheureusement pas provisoire mais s’est installée dans la durée. De même la dégradation du pouvoir d’achat des citoyens, la montée vertigineuse des prix des produits alimentaires font que la situation sociale et économique des Algériens reste déplorable.
Les membres de l'INTERSYNDICATS regrettent que UGTA et de l'INTERSYNDICATS , qui s’approprie les acquis arrachés par les fonctionnaires après plusieurs mouvements de protestations, n’a pu obtenir cette insignifiante augmentation qu’après 5156 rencontres avec la Fonction publique et le gouvernement. Soit après 14 années de négociations, au regard du nombre des rencontres. «On s’interroge, si après toutes ces rencontres, l’Ugta est revenue après l’adoption de la nouvelle grille des salaires sur ses soi-disant acquis, pour demander une indemnité complémentaire», soutient M HOUARI Kaddour pour démontrer le discours contradictoire de la Centrale syndicale qui désormais est devenue le porte-parole du pouvoir.
«Le pouvoir fait tout pour pousser les fonctionnaires à radicaliser leurs actions. Et c’est ce que nous allons faire si le chef de gouvernement refuse de nous recevoir et de dialoguer avec nous», a signalé M. HOUARI Kaddour qui annonçait un déplacement devant la chefferie de gouvernement aujourd’hui pour une demande d’audience.
Posté par AZIZ BEN, 03 juin 2009
pendant que vous perdez votre temps à dénigrer le déja dénigré,sans faire des propositions, "eux" préparent l'avenir de leurs arriéres petits enfants et chaque jour on voit l'arrivée de nouveaux policiers fraichement formés et bien dressés. attendez la miséricorde de dieu! Actuellement une bonne occasion (comme celles d'octobre 88, janvier 91 et avril 2001 qu'on avaient ratées) se présente devant nous et on ne fait rien ou plutot nos intelectuels et les partis d'opposition ne font rien pour nous organiser et chasser une fois pour toute ces moustiques .
ben dans la mesure ou nos dirigeants n ont aucun sentiment national sinon ils ne feraient pas la fortune de leurs enfants en suisse france amerique luxembourg iles caimans london la city... par conséquent qu est- ce qu ils en ont a foutre de la vie du ghachi ériens.
Bonjour, Que veut faire le pouvoir de ce pays? Je poserais la question autrement: Qu' t-il fait de ce pays? Là, je pense que nous avons des chiffres, un vécu, un état économique, social et culturel que chacun peut observer: Nul besoin donc de spéculer: L'algérie n'est plas un pays: C'est un BAZAR LIVRE aux VOYOUS en interne, aux "hommes d'affaires" de tous les pays qui ramassent une part du gateau en externe: Une populace violente, arrogante, ignorante réduite à des hordes: sans droits, no devoirs ni DIGNITE NI IDENTITE. Les algériens sont devenus des tubes digestifs (vivement la faim imminente à la fin du pétrole) et l'algérie une vaste prison à ciel ouvert: seule la fuite est salvatrice. Bouteflica c'est la cerise sur le gateau: Un personnage que les psy peuvent nous aider à identifier et donc comprendre ce qu'il veut faire de l'algérie qu'il n'ait pas encore fait: Il commence pas prêter allégeance à la France? pour meiux vendre l'algérie au golf!!!Il passe son temps (du beau temps probablement) dans les bars, cabarets... pour devenir un Agent des zaouias et des "marabouts", respectables par ailleurs. Il se fixe des objectifs: réformes de l'éducation, code de la famille, de la justice, de l'administration....Laquelle a été appliquée? Il s'engage à privatiser; combien d'entreprises l'ont elles été? Faut il continuer la liste. Ouvrons les yeux: Regardons l'état du pays: L'architecture digne des grandes civilisations: hamiz, bab zouars, chelghoum el aid, el khroub, tizi ouzou, bad el oued sans parler des endroits habités par des marsiens: saida, bordjbaji mokhtar, msila (c'est où déjà) ces exotismes: Pendant ce temps en attendant la desertification avancée des lieux et des têtes: une bande de voyous, devenus riches et puissants continuent à usurper les biens vacants bien occupés d'ailleurs et avoir la main mise sur les ressources qui seront distribuer en fonction du mérite, celui qui est apprécié et jugé par Le président et la cour. Voici, entre autre, l'état réel de l'algérie: on peut appeler à contribution pour étayer: Harragas, santé, chomage.... Une seule chance aujourd'hui d'en sortir: Solidarité avec les syndicats, les vrais, pour faire chuter le régime: Les polonais l'ont fait pourquoi pas nous?Cordiales salutations. mouloud
« Qu’est-ce que le pouvoir veut faire de ce pays ?» Sa propriété tout simplement...Normal quand on sait qu'ils ont des complicités "positives"...à travers le monde...Rien à voir avec la fameuse " main de l'étranger"!!!Dommage pour tous ceux qui ont donné leurs vies et leurs familles...à moins que...Musicaf.à bientôt.
un grand bravo a houari tous les syndicalystes qui resistent et qui restent debout , ne cherchant ni tchipa ni aucun poste de responsabilité dans ce pays devenu antre de la vermine et de l'incompetence ,j'ai quitter le pays de mes ancetres juste apres l'arret du processus électorale, j'ai pris mon sac a dos et traversé l'atlantique , harag , sans papier et ne parlant pas l'anglais , apres plusieurs années passé a boston ou j'ai regulariser ma situation et terminer mes etudes , je suis medecin a l'hopital de boston , je peux vous dire que je ne regrette pas mon choix et si c'etait a recommencer je le ferai , un gouvernement qui autorise qu'on tire a balle reelle sur des jeunes sortis pour crier leurs ras le bol est capable de tous , abas cette dictature , abas ces criminels sanguinaires qui tue saignes ce beaux pays , qu'on les traduise a la hays pour crime contre l'humanité car c'est ce qu'il meritent . a bon entendeurs salut.
Aujourdhui la peur a changer de camps,cette lueur d'une lumiere trop attendu qui viennent de sela qui brade l'injustice de notre justice aux ordres,de la brutalité de ces marionettes qui dance avec le malheur du peuple,. Des agétateurs,,ou haragas,des chomeurs par millions,,il est temps de reagir,d'unifier les ronts,de radicaliser les actions,d'aller au charbon,seul éssu a notre prise d'otage par le pouvoir qui est aux abois,qui perd de l'altétude devant la realité du jour. ni abdelekader al mali,ni toufik alkaskita,ni sidi said la ptite poupé de son papa régime,ni meme ses soi disont démocrates a la recherche d'un nid a leurs ypocrisie,ne trouveront moyen a stopper se qui s'aparente a une éxplosion qui va emporté le mal,,,meme c'est sela se ferra avec notre sang,,car il ni pas aussi chere que notre patrie,tt s'arache,est chaque chose a son prix.
C'est au peuple (le pays) de faire un pouvoir a sa mesure et non au pouvoir de faire un peuple a sa mesure! Avril 80 ce n'etait pas la Kabylie qui cherchait le speparatisme mais une kabylie qui crit haut ce que l'Algerie des profondeurs n'a pas encore compris: Une dictature.
la france a connu un certain 08 mai 68,un mouvement social qui a utiliser la rue pour se faire entendre et ils ont reussi.alors le seul moyen de se faire entendre face a un pouvoir qui a mis la societe a genou,aucune negoiation n'est possible si ce n'est de sortire dans la rue pour arracher nos droits.alors pour quoi pas un 08 mai 2008 en algerie
Vous n'avez donc rien compris?! Nos parents ont eu à se débarrasser du colonialisme français, à notre tour de nous débarrasser du colonialisme de la secte de Bouteflika qui nous a confisqué notre indépendance et notre souveraineté depuis 1962. Sans un Etat fédéral à la berbère, notre pays ne s'en sortira jamais.
On ne choisit pas ses ennemis, mais on choisit ses amis;la confédération des syndicats aurait du éjecter officiellement les syndicats qui voulait faire l'école buissonnière au moment de la grève.le syndicat de paramédicaux, le CNES,et autre traitres...! Honte à vous. Vous n'êtes pas suffisamment "ARGAZ", ne jouez pas dans la court des grands.Du CRAN messieurs, du cran !
Salut..je repond a la question-titre de ce paier en disant ceci: -Primo le pouvoir veut s'eterniser meme a titre posthume - Ensuite il veut faire faire de ce pays riche un état pauvre -Enfin il veut nous encanailler ( excusez ce barbarisme). Sinon comment expliquer toute cette fausserie dans tous les domaines.Train brulé Tchipa partou ecole en ruine université en gréve administrations reduites en fonds de commerce Ripoux partou fisc Hagar mecs de loi se comportant en ringo El batel partou crise en tou presque 5 millions de fou s le double atteint de maladies chroniques vols d'organes avec changement de nom pour les hopitaux Lamaycha Ghlat enfin suis essoufflé j'arrete.
Qu'est ce que le pouvoir veut faire de ce pays? Lui faire faire une marche arrière vers les années du Partis Unique, du Syndicat Partis, du Président à vie, des slogans vide... et trouver un mur assez long pour faire asseoir toute la population à l'image de ce mendiant...
win rahoum rjales!!!! ils ont fait de nous des morts vivants pourquoi continuer a avoir peur du moment qu'une partie de nous est deja morte !!le jour ou sa va barder faudra tous les egorger
UGTA L'ombre du GouvernementetSNAPAP para soleil des travailleurs déçus
L’embellie des indicateurs macroéconomiques ne reflète nullement les problèmes dus aux inégalités sociales. Les pouvoirs publics sont sûrement arrivés à cette conclusion logique et de ce fait, ont décidé la tenue d’une bipartite où il a été question d’élargir l’éventail des salaires de 3,3 à 7,5 %. Mais les syndicats autonomes et surtout SNAPAP ne mâchent pas leurs mots pour dire que cette rencontre ne révèle aucun indice sur l’application de la nouvelle grille des salaires.
Finalement, cette 1 5e bipartite tant attendue par les salariés de la Fonction publique n’aura pas été un événement significatif. En effet, prévue depuis des mois pour discuter de la nouvelle grille des salaires de la Fonction publique, la bipartite a enfin eu lieu en ce début du mois de septembre.
Trois principales nouveautés sont à remarquer. Il s’agit de la modification des catégories, de l’élimination des points indiciaires et enfin de l’introduction de la translation des fonctions et des postes. Autrement dit, la nouvelle grille a été liftée et les considérations dépassées tout à fait éliminées. C’est un peu normal, surtout quand on sait que l’ancienne grille était gérée par le Statut général du travailleur (SGT) hérité de l’époque socialiste, lui-même complètement dépassé.
Donc pas moins d’un million et demi de fonctionnaires seront touchés par ces nouvelles mesures, c’est-à-dire par le nouveau système de rémunération qui prendra en compte le critère "qualification". Dorénavant, la nouvelle grille des salaires de la Fonction publique comportera un seul point indiciaire de 45 DA au lieu de 78 pour l’ancienne. Les nouvelles catégories, au nombre de 17, se divisent en quatre groupes : le groupe conception de 11 à 17, le groupe application de 9 à 10, les agents de maîtrise de 7 à 8 et les agents d’exécution de 1 à 6. Cette classification reste d’ordre technique et n’apporte rien de concret aux travailleurs qui attendent, plus que jamais, une augmentation de salaire.
Il ressort déjà les résultats que la 14e bipartite seront d’abord soumis à l’appréciation du Conseil des ministres et à celle du gouvernement. Une fois ce projet adopté, il faudra finaliser les 45 textes particuliers qui concernent toutes les catégories du personnel et surtout ce qui touche aux primes et allocations.
Les travailleurs de la Fonction publique n’auront donc pas les augmentations tant attendues dans l’immédiat, il leur faut attendre l’année prochaine et la loi de finances 2008.
Mais en attendant qu’il y ait enfin du concret, beaucoup pensent que ces nouvelles mesures favorisent l’apparition d’une classe moyenne qui a peu à peu disparu de la société. Cela sous-entend aussi que le pouvoir d’achat qui s’est rétréci tel peau de chagrin connaîtra des jours meilleurs. Mais cet avis n’est pas partagé par de nombreux syndicats, dont celui des praticiens de la santé publique qui estime que “la montagne a enfin accouché d’une souris”. Car la bipartite n’a donné, en vérité, aucun indice sur la façon et le moment choisi pour appliquer la nouvelle grille des salaires.
Les syndicats autonomes, officiellement associés à l’élaboration des statuts particuliers, n’ont pas pris part à cette rencontre.
Tout cela pousse les syndicalistes à se poser des questions. Pourquoi la Fonction publique n’accélère-t-elle pas les réformes introduites par le nouveau statut ? Cherche-t-on, par des moyens détournés, à maintenir la Fonction publique dans l’anarchie qui la caractérise depuis toujours ? Ces retards signifient-ils que le gouvernement ne peut pas supporter le poids d’une augmentation de salaires ?
Cette dernière hypothèse n’est pas la bonne, car si l’on croit des spécialistes en économie, l’Etat peut concéder une augmentation de l’ordre de 30%. Mais quand on sait que pas moins de 1,5 million de travailleurs attendent une augmentation, on se dit que le taux de 30% est certes un peu élevé.
Toutes ces considérations n’intéressent nullement les travailleurs qui, eux, attendent des choses concrètes, c’est-à-dire une augmentation sur leur fiche de paie, car il faut le dire, les temps sont plutôt difficiles. Les prix des produits alimentaires ne cessent d’augmenter. Même si officiellement aucune augmentation n’a été annoncée, les commerçants ne se gênent pas pour vendre le lait, le fromage, les yaourts, l’huile, les farines… beaucoup plus cher. Les prix des fruits et légumes flambent à leur tour, surtout à l’approche du mois de ramadan, où les commerçants ne pensent qu’à amasser des fortunes.
Le ministère de la Solidarité a annoncé que durant ce mois, toutes les mesures seront prises pour que la pomme de terre soit présente de façon suffisante, que les viandes rouges et blanches soient disponibles pour tout le monde, il n’empêche que la flambée des prix fera parler d’elle comme chaque année. Comment un citoyen qui vient de consacrer un petit budget pour les vacances peut-il faire face à toutes les dépenses qui s’annoncent en perspective et qui viennent au même moment comme pour le narguer ? Car cette année, rentrée des classes et mois sacré s’annoncent ensemble. Que faire face à cette situation ? Qui sacrifier au profit de l’autre ?Il est évident que l’on ne peut trancher.
La rentrée des classes impose des dépenses considérables. Les prix des manuels scolaires et des autres articles ne sont pas du tout accessibles. En effet, quand on sait qu’un tablier coûte entre 400 et 600 DA, un cartable entre 450 et 1 500 DA… il n’est pas difficile d’imaginer un père de famille qui doit acheter toutes ces choses pour trois enfants ou quatre et qui, après cette saignée, doit se préparer pour d’autres dépenses engendrées par le ramadan. Et Dieu sait qu’elles ne sont pas à la portée de tous. Une table bien garnie est le rêve de tous ceux qui passent une longue journée de jeûne. Chorba, bourek, dattes, plat de résistance, salades doivent faire partie du menu quotidien, même pour ceux dont les moyens financiers sont limités. Mais pour assurer un menu pareil, il faut impérativement passer par le marché pour acheter les légumes qu’il faut, puis par le boucher pour acheter viande et viande hachée et peut-être même un poulet. Ceci suffit à ruiner son bonhomme, alors quand ce rituel se répète tous les jours, c’est la ruine assurée.
L’inquiétude des salariés de la Fonction publique est d’autant plus compréhensible que les salaires actuels ne peuvent suffire à tant de dépenses. Des dépenses qui ne s’arrêtent pas et s’enchaînent, car après les vacances, ce sont la rentrée scolaire et le Ramadan, puis ce sera l’Aïd El-Fitr, et les vêtements neufs qu’il faudra acheter pour les enfants et les gâteaux à confectionner… De quoi avoir le tournis.
Ces travailleurs devront donc attendre l’année prochaine et aussi la prochaine loi de finances, car ces augmentations seront financées dans ce cadre. En attendant, la vie suit son cours et devient de plus en plus chère.